Question vive—une controverse à discuter
XU Xinyi
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Les cours extra-scolaire est un phenomène qui a été provoqué par le système d’éducation chinoise, ce phénomène est inévitable sous le système de l’éducation chinoise, après tout, le baccalauréat chinois occupe une place irremplaçable, il est un moyen égal pour obtenir un statut dans la société pour les élèves et leurs parents , donc pour réussir à concours, tous les élèves chinois font toute leur force pour augementer leur note , alors les cours extra-scolaires sont utiles pour mieux maîtriser les connnaissances appris au cours, aussi pour apprendre des connaissances suplémentaires pour aguementer le taux de réussite au baccalauréat aux yeux des parents et élèves .
Mais c’est vraie que les cours extra-scolaires donnent plus de pressions aux élèves et donc entrainent des problèmes psychologiques et physiques. Alors le Ministère d’Education Nationale chinois ont élaboré des politiques pour interdire ce phénomène, mais je pense que les cours extra-scolaires ont aussi ses atouts, parce qu’il y a des élèves qui ont des difficultés à comprendre les connaissances des cours, alors pour eux, ils ont besoin des cours suplémentaires pour les retenir. Sinon ils vont être en arrière par rapport aux camarades. Donc je pense qu’il ne faut pas supprimer tous les formes des cours extra-scolaires, et les cours extra-scolaires doivent se passer de manière de volontairement.
Revenir à notre travail, quand j’ai cherché la chronologie sur internet, je trouvais que c’était un phénomène assez récent mais il est toujours un sujet d’actualité, car bacclauréat a lieu toutes les années, donc nous avons trouvé pas mal de acteurs et leurs avis sur ce sujet, mais d’abord nous avons eu mal à les traiter, parce que les avis ne sont pas relatifs à notre problématique précédent, donc nous avons changé notre problématique qui est donc dans la présentation de la site. Apprendre par faire, à travers la recherche sur notre sujet, j’ai beaucoup mieux compris la nature de question vive et comment les traiter, bref, ce travail me donne un esprit plus pénétrant sur les phénomènes sociaux.
WANG Chen
D’après moi, l’existence de cours extra-scolaires est tout à fait raisonnable. Tout d’abord, la société chinoise d’aujourd’hui est vraiment compliquée, les écarts entre la haute couche sociale et celle basse sont très grandes au niveau des ressources éducatives. En général, ce sont les élèves des bons lycées qui possèdent les meilleurs ressources éducatives, non seulement l’État aident ces lycées financièrement, mais il distribue aussi des enseignants de bonne qualité. Cela entraîne un phénomène, les ‘élèves’ faisant les études dans les lycées ‘normaux’ n’ont pas la chance de recevoir une bonne qualité d’éducation. Logiquement, ils auront plus de chances de rater leur «Gaokao» par rapport à ceux qui sont dans les bons lycées. En Chine, les universités même publiques sont divisées en trois niveaux par le gouvernement. Souvent, les étudiants qui étudient dans les universités du premier niveau auront plus de possibilités d’entrer dans les bonnes entreprises, puisque ce genre d’entreprise recrute rarement les étudiants qui tiennent un diplôme d'une université du troisième niveau. De là, on peut voir que les étudiants diplômés d’une meilleure université gagnent plus et deviennent les citoyens de la haute société, quant aux étudiants des université du troisième niveau, ils risquent d’être en marge de la société. Probablement, les descendants de ces personnes-là vont posséder des meilleures ressources comme eux, ainsi, c’est un cercle vicieux. Le rôle des cours extra-scolaire permettent de donner un coup de main pour ceux qui voudraient franchir le pas.
Deuxièmement, le système «Gaokao» existe depuis très longtemps, jusqu’à aujourd’hui, même si ces dernières années le gouvernement a mis en place des modifications, cela n’a pas changé grand chose. La compétition est toujours rude. Bien que certains psychologues et sociologues estiment que ce genre de cours nuisent à la santé mentale etc, selon moi, ce genre de «pression» a une influence positive. Quand on sort de l’école et se lance dans la vie professionnelle, n’a-t-on pas de pression ? Je pense que peu importe ce qu’on fait dans la vie, on a toujours des difficultés , on doit toujours sortir de sa zone confort. Une fois qu’on s’en sort, on grandit. Par conséquent, cette «pression» permet aux lycées de grandir au niveau psychologique.
Pour terminer, je partage mon expérience personnelle, je l’ai expérimenté. Mes parents ont payé cher pour trouver des bons enseignants pour qui puissent me donner des cours particuliers. Pendant ces cours, j’ai appris beaucoup de connaissances de tous azimut. Les horaires de l’école sont limités. En plus, c’est un plaisir d’apprendre de nouvelles connaissances.
De toute façon, une fois que le «Gaokao» existe, les cours extra-scolairesl’accompagnent.